La bonté est un don très doux, très tendre, qui tombe comme de petites semences sur notre route et l'illumine de fleurs !

Les soufis conseillent de ne parler qu'après que nos mots aient franchi trois portes = à la première porte, demandons-nous = ces mots sont-ils vrais = si la réponse est oui, ils peuvent passer, sinon, ils retournent = à la seconde porte, demandons-nous = s'ils sont nécessaires = et à la dernière, la question est = sont-ils bons !

Le moindre acte de bonté dit = tu comptes pour moi = tu es important ou = j'ai pensé à toi !La bonté est la qualité de celui qui fait preuve de bienveillance active envers autrui, une activité efficace susceptible de rendre réellement autrui heureux1. Dans Vocabulaire technique et critique de la philosophie, André Lalande donne la définition suivante du terme bonté : « caractère d'un être sensible aux maux d'autrui, désireux de procurer aux autres du bien-être ou d'éviter tout ce qui peut les faire souffrir2. » C'est une qualité appartenant au domaine de la morale. Son contraire est la méchanceté.

 La bonté est plus importante que la sagesse et ce constat est le début de la sagesse !

Le sentiments de bonheur que nous éprouvons à agir pour le bien d'autrui est souvent plus grand que les actes que nous accomplissons = notre satisfaction vient de dons d'amour libres et purs et de désirs de partager = lorsque l'on partage et accomplit un acte de bonté, on n'attend rien en retour, ils viennent du coeur et sont gratuits = nous donnons parce que nous trouvons cela naturel et juste = nous avons cessé de penser à nos propres soucis = notre situation et notre isolement ne dominent plus nos pensées = nous donnons pour la simple joie de donner, sans demander aucunes reconnaissances !