Chapitre 2                                                 

MERVEILLEUX WEEK-END

   Samedi matin après cette nuit d'amour, je l'ai emmené chez ses parents afin qu'elle prévienne sa famille du pourquoi de son absence et leur dire qu'elle ne rentrerait que lundi matin, elle m'a rejoint après avoir prit quelques affaires,  je suis passer chez moi pour prendre moi aussi quelques affaires ensuite on a été se baigner à la mer, vers onze heures on a été manger dans un restaurant, on a regagné notre hôtel après une balade en amoureux, après avoir fait l'amour on s'est endormi. Le soir on a été acheter des plats chauds qu'on a mangé une fois arriver à notre chambre, la nuit a été à son comble, on s'est aimé encore et encore  jusqu'à épuisement de nos corps, tous nos sentiments étaient toujours présent mais nos corps ne suivaient plus, épuiser nous nous sommes endormis. Après une douche nous sommes aller manger au resto puis on est parti se promener jusqu'au Mont-Dore ensuite avant de regagner notre hôtel on a prit des barquettes de nourriture on voulait être seul dans notre nid d'amour.

Le dimanche matin on est aller faire un tour au grand marché de Nouméa puis on s'est promener à pied dans la ville en visitant des boutiques tout en se faisant des bisous et en se disant des mots doux. Au bout d'un certain temps, on est parti se promener en voiture avant de rejoindre notre nid d'amour. Vers une heure du matin, je fus réveillé par des bisous qu'elle me donnait, j'ai sourit et je l'ai embrassé. Tout en mangeant des fruits, allongés sur le lit, elle me demanda mon nom de famille ( depuis qu'on s'était connu, on s'était dit que nos prénoms ) Lorsque je lui ai dit mon nom de famille, elle est sortie du lit en s'enveloppant du drap, elle me regardait avec des yeux où je pouvais voir l'horreur, l'épouvante, elle balbutia c'est pas vrai, dit moi que ce n'est pas vrai puis elle se réfugia dans la douche, je l'entendais qui sanglotait et disait des mots que je n'arrivais pas comprendre, je me suis rendu auprès d'elle, elle était assise par terre, la tête dans ses mains posait sur ses genoux, je me suis accroupi et j'ai relevé sa tête, les larmes coulaient à flot sur son visage, je lui ai demandé ce qui se passait, entre deux sanglots, elle me balbutia: on a pas le droit de se fréquenter, nous sommes de la même famille, mais qu'est-ce que tu me racontes lui dis-je, elle me répondit tu es mon cousin germain puis me donna son nom de famille en s'accrochant à mon cou, elle pleurait à chaudes larmes, sur le coup je suis rester sans voix, choquer de ce qu'elle venait de me dire, je l'ai prise dans mes bras et l'emmenait sur le lit, je lui essuyais ses larmes mais voir oh combien sa souffrance  la rendait malheureuse, je sentis les larmes coulaient sur mes joues. On est rester un long moment allonger l'un contre l'autre sans se dire un mot, nos larmes se mélangeaient à nos baisers. Au bout d'un certain temps, on a commencé à discuter de ce qu'on allait faire car en ce temps là la famille c'était sacré on avait pas le droit de se fréquenter, je lui proposais de se séparer et de réfléchir à ce qui nous arriver, elle refusa et s'accrocha à mon cou en me disant je m'en fout de la famille, je t'aime je ne veux pas te quitter, je comprenais sa douleur et son désespoir, moi aussi je ne voulais pas de cette séparation mais je fus assez fort pour la convaincre que c'était la seule solution et que dans les jours à venir si notre amour était toujours aussi fort et intense, l'éveil de notre coeur nous réunira à nouveau et on s'aimera contre vent et marée et tant pis pour la famille, dieu seul sera notre juge, elle accepta. On a quitté la chambre pour aller se promener sur la plage qui se trouvait à côté de l'hôtel. On a pus évoquer ce qui nous arrivait, il y avait qu'elle et moi en amoureux, on entendait le doux relaxe des vagues venant s'échouer sur le sable blanc. Une fois revenu dans notre nid d'amour, on s'est aimer comme des fous, plus rien au monde ne pouvait détruire cet amour si intense que l'on se portait, c'était l'invincibilité de l'amour.