• Chapitre 9 

     

                            COMPLETEMENT ABATTU

         

      Lundi matin vers huit heures, je suis aller à mon travail, je suis aller au bureau, lorsque le patron m'a vu il m'a dit mais tu en fait une tête, qu'est-ce qui t'arrive, en m'asseyant sur la chaise je lui ai dit: l'accident à Bourail, c'est ma chérie et j'ai éclaté un sanglot, mon patron est resté silencieux un moment puis il m'a dit oh! c'est pas vrai oh! mon pauvre garçon comme tu dois souffrir, toute mes sincères condoléances, vois-tu je me mets à ta place j'en serais effondrer moi aussi, bouche pas de là je reviens. Au bout d'un certain temps il est revenu, il m'a dit qu'il avait prévenu mes deux collègues de travail, un cours instant après, ils sont arrivés et m'en réconforter et souhaiter leur condoléance moi je versais toutes les larmes de mon corps, j'étais anéanti, mon patron m'a dit va te débarbouiller et rentre chez toi, tu as droit à trois jours de deuil mais prend la semaine, je vais avertir le grand bureau. A peine rentrer chez moi, ma voisine est tout de suite venue pour m'encourager et me réconforter dans cette douloureuse épreuve que je subissais.

        Toute la nuit, je tournais en  rond dans mon petit appartement, je pleurais et hurlais ma douleur, je me cognais la tête contre les murs, je frappais les murs, les portes de mes poings, mes mains étaient en sang heureusement que mes amis étaient là, ils sont arrivés à me calmer, sa femme m'a soignée les mains, ils sont rester toute la nuit avec moi pour me surveiller de peur que je fasse une connerie, ils faisaient de leur mieux pour me soutenir, j'ai refusé de manger je leur ai dit comment voulez-vous que je mange alors que mon amour est là bas dans un cercueil, non, non je veux en finir, laissez-moi la rejoindre, je ne veux plus vivre sans elle ils ont finis par me calmer et à reprendre du bon sens.

        Le lendemain à l'enterrement toute sa famille était là ainsi que des amis ( es ) Je suis rester en retrait, lorsque ses parents se sont éloignés et attendaient dans une allée pour les condoléances, je me suis approcher de son cercueil, je restais figé, les larmes coulaient à flots,  je ressentais en moi un grand vide, une peine immense, mon chagrin m'anéantissait, je portais à ma bouche une rose blanche ( Cette rose blanche représentait pour moi toute la pureté et la grâce de son amour ) Je déposais un baiser sur les pétales mouillées de mes larmes et je la déposais sur le haut du cercueil à cet instant j'ai craqué je hurlais, j'ai besoin de toi, que vais-je devenir sans ton amour. Je me suis agripper à son cercueil, les larmes coulaient à flots, mon esprit chavirait dans le cauchemar, l'irréalité, l'absence de mon moi en moi, plus rien n'avait de sens, je hurlais ma peine, mon chagrin, mon désespoir, vivre ma vie sans elle c'était impossible, qu'allais-je devenir sans sa présence à mes côtés, sans ses câlins, sans ses bisous, sans son amour.                                                                                                                                                                                                                                               Mes amis m'ont emmenés mais je continuais à lui parler, plus tard mes voisins m'ont dit ce qui c'était passé, je leur ai dit, je m'en fout, ma vie est foutue je l'aime trop pour vivre sans elle, ils m'ont beaucoup soutenu pendant mon désarrois, ils avaient peur que j'en finisse avec ma vie. J'ai eu beaucoup de reconnaissance envers eux car sans eux j'aurais certainement fait l'irréparable.


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